Un book et des clopes…

Et voilà, j’ai enfin un portfolio ! Si vous me faites le plaisir de le visiter, vous pourrez en savoir un peu plus sur mes activités et mes réalisations.

Mais je voudrais aussi vous présenter le projet d’une entreprise dont les fondateurs pensent qu’on peut contribuer à sauver le monde en créant des jeux. Pas banal, non ? Connaissez-vous Dowino ? J’en avais déjà parlé ici, à l’époque où l’équipe lançait un jeu de combat et d’aventure 100% audio, A Blind Legend, destiné aux aveugles et malvoyants, ou à sensibiliser les « bienvoyants » à la déficience visuelle.

Aujourd’hui, Dowino s’attaque au tabagisme. Son nouveau projet, Smokitten, se présente comme le premier jeu vidéo pour arrêter de fumer… ou ne jamais commencer. C’est drôle, sympa, non culpabilisant ; c’est original et convaincant : pour ma part, je soutiens.

Dowino a lancé une souscription sur Ulule ; si ça vous tente…

Et pour découvrir mon portfolio tout neuf, regardez, c’est l’onglet du même nom en haut de l’écran.

Une année… géniale ?!

Dans la série des bassistes de génie, justement, je vous avais déjà présenté Marcus Miller, le slapper fou, et Jaco Pastorius, l’homme aux doigts d’or. Aujourd’hui, j’ai envie de vous offrir du Charles Mingus. Plus qu’un grand contrebassiste, Charles Mingus fut à mon sens un compositeur, un arrangeur et un chef d’orchestre sans égal, qui sut par ailleurs s’entourer de musiciens d’exception. Cet homme au destin chaotique a construit tout au long de sa carrière une œuvre unique faite d’ambiances comme des réminiscences, d’atmosphères chaudes et envoûtantes et d’émotions paroxystiques.

Un univers.

Normal, pour un dieu de la musique…

Allez, un dernier clic pour le grand voyage !